Écrit le 20 mai 2025, depuis une voiture d’occasion qui roule comme neuve.
Cher moi d’il y a deux ans,
Tu étais là, assis dans cette concession, fasciné par la lumière qui glissait sur le capot d’une voiture neuve. Tu te voyais déjà au volant, la main posée sur le cuir, le regard assuré dans le rétroviseur.
Et tu l’as fait ! Tu as signé… Tu ne t’es pas contenté d’acheter une voiture, tu as acheté un symbole.
Si je t’écris aujourd’hui, c’est pour te dire tout ce que tu n’as pas vu… Ou plutôt, ce que tu n’as pas voulu voir.
Il y avait une autre option. Certes, plus discrète, moins clinquante, mais tellement plus pertinente.
Il y avait la voiture d'occasion récente.
Acheter via un mandataire auto, y avez-vous déjà songé ? Vous pensez peut-être que, pour acheter une voiture neuve, il faut passer par la case concession ? Serrer la main d’un vendeur en chemise blanche, dire "je vais y réfléchir", boire un café brulant dans un gobelet en carton et repartir avec un devis plus salé qu’une note de restaurant 3 étoiles ?
On vous comprend. C’est ce que tout le monde fait. Ce que tout le monde croit… C’est justement là que le mandataire auto entre en scène, avec un argument implacable : vous faire payer moins cher, pour la même voiture.
Acheter via un mandataire, ce n’est pas une astuce de connaisseur, c’est une alternative transparente et souvent bien plus avantageuse. Pourtant, trop de conducteurs passent encore à côté.
La reprise de véhicule est une étape souvent sous-estimée dans la vente d'une voiture. Tout commence pourtant par un chiffre. Un chiffre trouvé en ligne, après quelques clics sur un simulateur de reprise. Vous avez renseigné l'année, le kilométrage, le modèle, la finition… En face, une estimation prometteuse : 9 800 euros ! Vous souriez, satisfait. Puis vient l’offre réelle, celle qu’on vous fait en concession ou via un professionnel : 7 200 euros… Pour vous, c’est l’incompréhension, la frustration, voire même la déception. Pourtant, cette différence n’a rien d’une arnaque. C’est une réalité que peu de gens expliquent clairement et qui, finalement, peut même être une chance…
Éric Debard est né à Albi. Petit, il assistait aux Coupes de Printemps sur le circuit de la ville, serré contre son père dans les tribunes. Le bruit des moteurs couvrait leurs paroles, mais pas leur lien. Eric pensait alors qu’un jour ce serait lui qu’on viendrait encourager...